Extrait - Page 2

Fil d'ariane

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Gatsby le Magnifique – Francis Scott Fitzgerald – traduction de Victor Liona – Librairie générale française - 1983

 

Deux choses ont marqué mon adolescence : les films avec Leonardo Dicaprio et la lecture de Gatsby le magnifique au lycée. En 2013, l’acteur reprenait avec brio le rôle éponyme dans l’adaptation de Baz Luhrman. Le 11 novembre prochain, Leonardo fêtera son 48ème anniversaire, et moi j’ai dépassé l’âge de ses conquêtes depuis longtemps !

Cependant je ne pouvais pas laisser passer l’occasion de mettre en lumière le roman de Fitzgerald qui reste une référence de la littérature américaine de la première partie du XXème siècle… et l’un de mes livres préférés.

1922. Nick Carraway arrive du Midwest à New York pour commencer une nouvelle vie. Il s’installe en banlieue où il retrouve l’une de ses cousines, Daisy, mariée au millionnaire Tom Buchanan. Tout ce petit monde évolue dans les sphères de la haute société américaine, où il est aisé de se cacher derrière la bienséance pour s’épancher en ragots et commettre l’adultère. Tom mène donc une double vie en ville et voit d’un mauvais œil l’apparition de Jay Gatsby dans leur monde. Ce nouveau riche, voisin de Nick et ancien amant de Daisy, fera tout pour la reconquérir. Le temps d’un été, Fiztgerald nous conte une société d’après-guerre où la réalisation du rêve américain n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît.
A travers le regard de Nick, le lecteur suit plusieurs histoires d’amour au destin tragique. Chacun y joue un rôle, mais seuls les plus habitués à la mascarade en sortiront indemnes. Alors que le véritable amour est sur le point de triompher, que les personnages vont révéler leur vraie nature, la réalité vient leur rappeler que chacun occupe une place précise dans la société, et qu’il est dangereux de vouloir en changer…

 

Laurène

 

Pour aller plus loin :

Pour réserver ce document : cliquez ici

 

Présentation du roman par François Busnel dans la P'tite Librairie

 

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Gatsby le Magnifique – Francis Scott Fitzgerald – traduction de Victor Liona – Librairie générale française - 1983

 

Deux choses ont marqué mon adolescence : les films avec Leonardo Dicaprio et la lecture de Gatsby le magnifique au lycée. En 2013, l’acteur reprenait avec brio le rôle éponyme dans l’adaptation de Baz Luhrman. Le 11 novembre prochain, Leonardo fêtera son 48ème anniversaire, et moi j’ai dépassé l’âge de ses conquêtes depuis longtemps !

Cependant je ne pouvais pas laisser passer l’occasion de mettre en lumière le roman de Fitzgerald qui reste une référence de la littérature américaine de la première partie du XXème siècle… et l’un de mes livres préférés.

1922. Nick Carraway arrive du Midwest à New York pour commencer une nouvelle vie. Il s’installe en banlieue où il retrouve l’une de ses cousines, Daisy, mariée au millionnaire Tom Buchanan. Tout ce petit monde évolue dans les sphères de la haute société américaine, où il est aisé de se cacher derrière la bienséance pour s’épancher en ragots et commettre l’adultère. Tom mène donc une double vie en ville et voit d’un mauvais œil l’apparition de Jay Gatsby dans leur monde. Ce nouveau riche, voisin de Nick et ancien amant de Daisy, fera tout pour la reconquérir. Le temps d’un été, Fiztgerald nous conte une société d’après-guerre où la réalisation du rêve américain n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît.
A travers le regard de Nick, le lecteur suit plusieurs histoires d’amour au destin tragique. Chacun y joue un rôle, mais seuls les plus habitués à la mascarade en sortiront indemnes. Alors que le véritable amour est sur le point de triompher, que les personnages vont révéler leur vraie nature, la réalité vient leur rappeler que chacun occupe une place précise dans la société, et qu’il est dangereux de vouloir en changer…

 

Laurène

 

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Présentation du roman par François Busnel dans la P'tite Librairie

 

Extrait

« Je pense que le premier soir où je suis allé chez Gatsby, j’étais l’un des rares invités « officiels ». Les gens n’étaient pas invités – ils venaient d’eux-mêmes. Ils prenaient des voitures qui les conduisaient à Long Island et s’arrêtaient comme par hasard devant le portail de Gatsby. Là, il leur suffisait de connaître quelqu’un qui connaissait Gatsby, et ils étaient libres de faire ce qu’ils voulaient […].

Nous étions assis à une table, avec un homme qui devait avoir à peu près mon âge […] Profitant d’un instant de calme, l’inconnu me regarda en souriant. […] Nous avons évoqué, pendant un moment, quelques villages de France, pluvieux et grisâtres. Sans doute habitait-il les environs, car il m’apprit qu’il venait d’acheter un hydravion et qu’il comptait l’essayer le lendemain matin. […] Et j’expliquais à celui dont je venais de faire connaissance :
- C’est une soirée très étrange pour moi. Je n’ai pas encore rencontré mon hôte. J’habite tout près…
J’agitai la main en direction de la haie invisible qui nous séparait.
- … et ce Gatsby m’a fait porter une invitation par son chauffeur.
Il me regarda un instant, comme s’il n’était pas sûr d’avoir compris, et brusquement :
- Gatsby, c’est moi. »

 

 

 leonardo dicaprio